L’écorché me rappelle mon enfance, quand mon grand père sacrifiait un lapin pour le repas dominical. Après l’avoir assommé et saigné, il lui « enlevait le pyjama ». La bête demeurait nue, suspendue par les pattes à une ficelle de chanvre. C’est sans doute la première fois que je voyais ce que l’on voit sous la peau…